« Gilles était un moteur dans la façon de réfléchir à ces questions. Sa clarté de vue, son originalité et sa façon d’expliquer les choses ont marqué plusieurs avis. Sa disparition est une perte importante pour la communauté scientifique mais aussi pour la communauté de l’éthique du numérique », témoigne Claude Kirchner, président du comité et chercheur émérite à l’Inria.