Dans son rapport, l'OIB avance des explications sur cette légère hausse récente : "Cela résulte surtout des conséquences pour les ménages de l'épisode inflationniste de 2022-2023. La hausse du prix du panier de consommation (en particulier des produits alimentaires et de l’énergie), qui touche plus lourdement les ménages les plus modestes, a réduit leur capacité à rembourser leur(s) crédit(s), voire dans certains cas, les a contraints à en souscrire de nouveaux pour financer leurs dépenses courantes."