A l'horizon 2050, "sans inflexion des tendances actuelles, 88% du territoire hexagonal pourrait être en situation de tension modérée ou sévère en été en matière de prélèvements", assure ce rapport, selon lequel même en menant une politique de rupture, avec une société "sobre en matière d'eau dans tous les secteurs d'activité", cette proportion ne descendrait qu'à 64%.