Quelle misère cet article, qui heureusement se termine par :
"Il n’est pas question de polarisation, je trouve même dangereux d’utiliser ce terme. Ici, ce n’est pas deux extrêmes qui créent une fracture, mais la radicalisation des jeunes hommes. On ne peut pas mettre sur le même plan les féministes, qui militent pour leur sécurité et l’égalité des droits, et les masculinistes, qui veulent les dominer."