La plus haute juridiction administrative a relevé que si le garde des Sceaux pouvait fixer les conditions d'exercice des activités proposées par l'administration pénitentiaire, il ne pouvait "interdire, par principe des activités conformes au code pénitentiaire, simplement parce qu'elles auraient un caractère 'ludique'", selon un communiqué de presse.
Le garde des Sceaux a réagi en fin d'après-midi, lundi. "Si la loi actuelle nous empêchait de mettre en place la politique de fermeté dans les prisons françaises, je proposerais des changements législatifs", a-t-il déclaré.