Cette décision intervient après quatre décennies de lutte armée entre le Parti des travailleurs du Kurdistan et l'Etat turc, dont le bilan dépasse 40 000 morts.
Cette dissolution et la normalisation des relations avec l'Etat turc pourrait avoir des conséquences dans le pays, mais aussi dans toute la région, les communautés kurdes étant aussi présentes en Irak et en Syrie, où l'armée turque a mené de nombreuses frappes et opérations ces derniers mois.