Ce mémoire se propose sur la base de lectures,
d’observations et de rencontres, d’analyser ce qui
me parait manquer aux pratiques participatives
contemporaine.
Au lieu d’être un outil pour le citoyen, la
participation instrumentalise celui-ci dans une
validation factice du projet. Trop souvent, elle
favorise une illusion démocratique plutôt que
d’engager des débats, s’enrichir de désaccords
et questionner la démocratie elle-même. La
participation doit être capacitante et non
instrumentalisante.