Quatre heures de cours par jour, suivis sur smartphone. Du moins théoriquement : pas d’électricité ni bonne connexion, ce jour-là. Une situation face à laquelle Rimah, la maman, elle-même enseignante, se sent bien dépourvue : "En plus, elles doivent étudier avec le bruit des chars et des bulldozers. Une fois, je me souviens, en plein cours, on a appris que l’armée se rapprochait de chez nous alors on a commencé à se préparer à partir. Les filles ont quitté les cours en ligne."