"C'est un tort" que de supprimer de telles activités, a réagi la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté, Dominique Simonnot, soulignant qu'elles sont "prévues par la loi". "Ces activités ludiques ne sont pas simplement ludiques, elles réapprennent aux gens à revivre normalement", a-t-elle déclaré à l'AFP.