« De plus en plus de gens nous appellent pour arrêter le métier », observe Léa. « C’est compliqué pour eux parce que, malgré les difficultés, ils aiment leur boulot, analyse Danielle. En ce moment, on accompagne une ferme. Il y a trois ans, ils ne parlaient pas comme aujourd’hui. Là, entre la sécheresse, l’inflation et la nouvelle PAC (Politique agricole commune), ils nous disent qu’ils sont trop inquiets pour l’avenir, qu’ils ne supportent plus l’incertitude climatique et économique. »