"Quand il dit : 'C’est moi qui lui ai donné son nom', c’était l’agression de trop, ce n’est pas vrai, c’est faux, c’est un mensonge et une violence de plus. Ça me renvoie à quand j’étais sur son canapé et où il me disait ‘sans moi tu n’es rien’", a-t-elle déploré. "C'est sa violence, c'est son arrogance, c'est ça qui me fait péter un câble", a-t-elle souligné.