« Cela veut dire 3-4 personnes entassées dans des cellules de 9 m² prévues en principe pour une personne, 4 000 d'entre elles dorment sur des matelas à même le sol, alerte Jean-Claude Mas, président de l'Observatoire international des prisons interrogé par Amélie Beaucour du service France de RFI. Cette surpopulation accentue la vétusté et la salubrité, qui est déjà emblématique des établissements pénitentiaires, et qui réduit aussi quasi à néant les possibilités d'accompagnement et d'accès au droit des personnes. »