Pendant 150 ans, aux États-Unis, des enfants des peuples autochtones ont été arrachés à leurs familles et placés dans des pensionnats, gérés par le gouvernement et des institutions religieuses, dans un but dit « d’assimilation ». En ces lieux, violence physique, psychologique, sexuelle, culturelle et religieuse ont traumatisé pour des générations les premiers peuples des États-Unis.