La Commission irlandaise pour la protection des données (DPC), qui agit pour le compte de l'Union européenne après une plainte déposée en 2018 par l'association française La Quadrature du Net, a notamment estimé que "le consentement obtenu par LinkedIn" auprès de ses utilisateurs pour l'utilisation de leurs données "n'a pas été donné librement, ni été suffisamment éclairé ou spécifique, ni sans ambiguïté".