Cette affaire montre finalement ce qu'il se passe tous les jours pour les personnes dépendantes, qui ont besoin de ce genre de produits pour se sentir bien et aller vers les autres. Elle montre aussi qu'il faut informer, prévenir et offrir des zones d'accueil anonymes, gratuites et surtout sans jugement moral. Un autre enjeu est de donner des moyens aux associations pour aller vers les publics concernés.