Au cours de l'audience, Nicolas Bedos s'était défendu d'être « un agresseur sexuel ». Il avait uniquement reconnu des problèmes d'alcool et « une amabilité lourde » en cas d'ivresse, qui représente pourtant une circonstance aggravante du viol, selon la loi française. « Je ne me souviens de rien, c'est un black-out », avait déclaré le prévenu à de nombreuses reprises, tout en niant vigoureusement avoir eu des comportements déplacés.