Selon Antoinette Guhl, rapporteure de cette mission, interrogée par Le Monde et franceinfo, "Nestlé a fraudé et trompé les consommateurs. Tous les ministres ont su et ils ont laissé faire. Ils auraient dû sanctionner et informer. Ils ne l’ont pas fait". La sénatrice pointe notamment dans son rapport l’"opacité", le "flou juridique", et le "caractère parcellaire de l’information dont ont disposé certaines administrations".