Ces assistants travaillaient en réalité pour le parti, selon l’accusation, ce qui est interdit par la réglementation européenne : cela concerne par exemple le garde du corps historique de Jean-Marie Le Pen ou la cheffe de cabinet de Marine Le Pen. Marine Le Pen était « la décisionnaire principale in fine » de ce système, soutient le parquet et elle est notamment poursuivie pour « complicité par instruction » du détournement.