"C'est un chiffre qui fait froid dans le dos, c'est toute une génération qui se prépare à un avenir plus ou moins fragile", souligne auprès de l'AFP Sarah Coupechoux, chargée de mission Europe à la Fondation Abbé-Pierre.
Pour les auteurs du rapport, "seuls de profonds changements structurels", comme le plafonnement des loyers ou encore la production de logements abordables à destination des familles, "permettront d'enrayer" le sans-abrisme et le mal-logement des enfants.