L'affaire, connue sous le nom de « Marco Polo », illustre la résurgence en Europe d'un « terrorisme d'État iranien », comme le souligne une synthèse de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) française que l'AFP a consultée. « À partir de 2015, les services iraniens ont renoué avec une pratique d'assassinats ciblés », note l'organisation française, ajoutant que « la menace s'est encore aggravée (...) dans le contexte de la guerre entre Israël et le Hamas ».