C'est lors de ce premier témoignage que cette mère et grand-mère a tenu à ce qu'on l'appelle par son nom. "Je tiens à ce qu'on m'appelle Gisèle Pélicot, en solidarité avec mes enfants", a-t-elle déclaré […]
Bien que Gisèle Pélicot souhaite reprendre son nom de jeune fille à l'issue des débats, l'histoire retiendra sans doute ce patronyme comme étant celui de la victime et non celui de l'accusé. C'est en tout cas cette démarche combative – elle s'est elle-même comparée à une "boxeuse" – et publique qui semble avoir donné cette tournure historique et internationale au procès dès la première semaine.