Ce n'est pas un viol, « car c'est son mari qui proposait », se défend un homme devant les enquêteurs ; « il fait ce qu'il veut avec sa femme », renchérit un second, avant de sembler se rendre compte de la gravité des faits.
Ils osent vraiment tout. #patriarcat
Décidée à « faire face » et exposer ses agresseurs, Gisèle a obtenu, ce premier jour de procès, qu'il n'y ait pas de huis clos.