Le Collectif Stop Barrage Rhônergia avait calculé que le projet aurait été le plus cher d’Europe pour un barrage qui aurait été le moins efficace de toutes les centrales hydroélectriques déjà existantes du Rhône. Clément Pradier, membre du collectif, rappelle que les contestataires avaient d’ailleurs proposé aux pouvoirs publics d’investir de l’argent plutôt dans les barrages existants vieillissants. Cela afin d’augmenter leur productivité énergétique, au lieu de construire un nouveau barrage sur le dernier tronçon encore sauvage du Rhône.