"Le ministère de l'Economie voit un peu la Cnil comme une empêcheuse de tourner en rond", résume le député Philippe Latombe. "Quand on veut faire de la France une 'start-up nation' et y attirer les entreprises, il vaut mieux ne pas avoir l'air trop sévère", analyse aussi un connaisseur du secteur, qui rappelle que plusieurs membres du collège sont nommés par le président de la République et les deux chambres du Parlement.