Officiellement, le nombre d’habitants a augmenté de plus de 80% depuis 2002. Plus d'habitants, et plus de bouches à nourrir donc, sur une île qui ne compte que 374 km². D'où une intensification des pratiques agricoles : de grandes monocultures de bananes ou de manioc se développent sur l'île au détriment de la forêt ou des cultures traditionnelles.