Maud Le Pladec a expliqué à l'AFP avoir "reçu plusieurs dizaines de mails de menace et messages haineux". "En tant que directrice et chorégraphe, on a exposé une vision du monde. J'assume l'entière responsabilité artistique (...). Nous n'avons visé personne, nous n'avons pas créé cette polémique", a-t-elle estimé.
Quand les « on ne peut plus rien dire » ne veulent pas que les autres s’expriment, ça se fait par la violence.