"Alors faut-il interdire les ordinateurs en cours ? Pour moi, non. Mais il ne faut pas non plus céder au « tout-numérique ». Ce qu’il faut, c’est relever nos exigences, doublement : nous devons agir sur tous les facteurs qui rendent les machines désirables dans des situations où elles ne sont pas indispensables ; et nous devons rendre possible la cohabitation des techniques en responsabilisant les pratiques."