il ne faut pas attendre des lois qui n’arriveront pas tant que les bourgeois seront au pouvoir. Nous l’avons déjà dit, et nous le redisons ici : il est clair que les dominants nous préfèrent tristes et seuls que joyeux et avec un sentiment de puissance. La dépression arrange les affaires des capitalistes. Un salarié déprimé vaut mieux qu’un travailleur combatif, quand bien même il contribue à la baisse de productivité de notre économie. Pour cela, le patronat et le gouvernement ont un plan : la fin des arrêts maladies et la mise en place du travail forcé pour les allocataires des minima sociaux. Que le taux de suicide augmente les indiffère. Si le macronisme avait peur des morts qu’il engendre, ça se saurait.