Le discours en intégralité d'Aurore Bergé, présidente du groupe "Renaissance" à l'Assemblée

Qui a dit :

« la question des retraites, elle pose fondamentalement d’abord la question du travail, du rapport au travail, du sens du travail, de la rémunération du travail dans notre société. C’est toute la question du partage, de la valeur et du partage des profits que nous voulons voir être mis en œuvre dans les prochaines semaines. »

Réponse Aurore Bergé. A 13:45

Alors que son groupe a rejeté tous les amendements visant à remplir les caisses différemment que par l’allongement de la durée du travail.

Dans tout ce discours, elle continue avec acharnement à mélanger tous les mouvements politiques et à agiter le fantôme de melenchon comme un repoussoir. Se rend elle compte que son McCarthisme obstiné est celui qui offre « un marche pied » au RN ?

En début de discours, Aurore Bergé intervient en brandissant la constitution de la Ve République comme si c’était un texte immuable est la seule possibilité de démocratie. Il ne faut pas oublier que ce texte a été maintes fois révisé, notamment ces dernières années. C’est un cadre légal dans lequel nous voulons évoluer. En tant que société, il ne faut pas oublier que c’est un choix, et que ce qu’elle contient peut varier dans le temps. Les dispositifs employées par le gouvernement pour mettre en place Leurs réformes ont devoyé certains de ces articles notamment le 47-1, pour lequel les temps de débat parlementaire étaient restreints. Ceci afin de pouvoir légiférer dans une situation de risques sur les finances publiques, imminent et très important. Ces éléments ne sont évidemment pas présent sur cette réforme des retraites.