On "hallucine" devant ces violences […], on envoie des "énormes soutiens" […] et surtout, on est tenté·es de pointer du doigt une certaine catégorie de personnes. C'est la faute aux trolls, aux incels et autres "puceaux frustrés", à des ados qui s'ennuient, etc. Bref, on crée une frontière entre les personnes qui harcèlent et nous-même. Je ne sais pas si cet argument est très réconfortant pour une victime de cyberharcèlement. Ce que je sais, en revanche, c'est que cette frontière n'existe pas vraiment.