Deux choses que je partage, qui étaient dans ma tête mais qui sont dites avec des mots plutôt que des pensées :
J’ajouterai quant à moi que ce n’est pas que l’isolement qui a accentué les états de crise personnels des uns et des autres, c’est tout autant le stress permanent
Le biorythme […], rythme de notre corps, conditionné comme des animaux que nous sommes par l’ensoleillement, diffère sensiblement entre l’été et l’hiver. Tout le monde râle plus en hiver, tout le monde perd en efficacité, tout le monde fait semblant que non. Vivement la fin de l’esbroufe.
Je crois que ça me fait du bien de lire ça :)