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Culture du viol : « Tant qu’on sera convaincus que les violeurs, c’est les autres, on n’avancera pas »

neonmag.fr · 9 min

A part Sorcières de Mona Chollet, l’exception qui confirme la règle, ces livres restent dans la sphère militante. Les féministes lisent plein de livres féministes et c’est très bien ! Mais le viol n’est pas un problème de féministes, c’est un problème de société.

Je fais le lien entre ce paragraphe et le bouquin d'Alice Coffin où elle dit qu’elle ne lit plus que des femmes. J’ai commencé moi-même à faire évoluer mes habitudes pour intégrer plus de diversité au sein de mes centres d’inspiration. Ce paragraphe, donc, me fait réaliser qu'en ne lisant que (ou majoritairement) des hommes, les chances sont plus grandes de ne pas s’informer correctement sur la question du viol, puisque ce n’est pas dans notre intérêt d’en parler.