Skip to main content
Un réseau de responsabilité : typologie des modélisations morales du designer graphique

cairn.info · 15 min

Ce que j'ai trouvé intéressant surtout :
« Le design est une profession chargée de devoirs, ou telle est l’impression dégagée par les écrits qui s’y consacrent depuis plus d’un siècle. Dans son ensemble, le corpus théorique traitant du design graphique s’accorde pour faire peser sur le praticien une part importante des conséquences sociales, culturelles et économiques de sa production. Néanmoins, face à ces prescriptions, peu de designers se sentent munis d’un pouvoir et/ou d’une valorisation conforme au poids de cette responsabilité.

Mais comment caractériser le bon design ou les qualités du bon designer ? Aucune définition ne fait l’unanimité, mais trois grandes catégories émergent : le bon social (où le designer fait évoluer la société, grâce au design, au plus loin des valeurs capitalistes et consuméristes, quitte à produire en dehors du système économique) ; le bon esthétique (où le designer est garant d’une harmonie visuelle grâce au beau que son travail propage dans le paysage visuel) ; et enfin le bon user-centred, (où le designer subordonne toute préoccupation à celle des besoins de l’usager) »

— Pour le reste de l'article, elle analyse les ≠ types de designers mais ça m'a moins interessée